Bérets noirs, bérets rouges
Michel Zink, de l’Académie française et secrétaire perpétuel de l’Académie des inscriptions et belles-lettres, présente son dernier roman.
Un notable lyonnais sexagénaire reçoit un professeur parisien septuagénaire à la recherche de son enfance lyonnaise et du mystère entourant un frère et une sœur, dont il était proche lors de ses années passées au Lycée du Parc. Tel est le point de départ du roman que vient de publier Michel Zink, secrétaire perpétuel de l’Académie des inscriptions et belles-lettres : Bérets noirs, bérets rouges (Éditions de Fallois, 2018). Au fil de leurs échanges, les souvenirs refont surface pour se fondre peu à peu dans la mémoire collective. Aux joies et drames intimes de la jeunesse se mêlent bientôt d’autres tragédies comme la guerre et la Libération, l’Indochine et l’Algérie pour brosser un tableau doux amer de la France des années cinquante.